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ACCUEIL : COMPETITION - ENDURO et RALLYES - 2013 - Hell's Gate
 
 
ENDURO EXTRÊME - Hell's Gate
 
Graham Jarvis pilote de l'extrême

On ne peut pas dire que les Enduros Extrêmes soient encore totalement à la mode mais force est de constater que les épreuves de ce type ou au moins mélangeant les genres se multiplient.  

De l'Enduro Cross aux USA à l'Enduro en salle qui est dorénavant géré par l'organisateur du Mondial d'Enduro aux épreuves extrêmes ponctuant justement l'EWC, les tracés de plus en plus durs fleurissent un peu partout.

Le Hell's Gate fait partie de ces épreuves telles que The Tough One, l'Erzberg, la Romaniacs ou King Of The Motos qui attirent à elles à la fois les sponsors et les constructeurs et bien entendu les pilotes.

Mais c'est dur, très dur et seule une poignée de pilotes au monde est capable d'aller au bout.

Graham Jarvis l'épouvantail de la discipline Enduro Extrême

Graham Jarvis fait partie de ceux là, de ces rares enduristes à pouvoir emmener leurs motos sur ces sommets à la fois sportifs et géographiques.

Et c'est aussi le fer de lance du Team d'usine Husaberg.

La marque (austro) suédoise a décidé de s'investir à fond dans la discipline en engageant 3 pilotes : Graham Jarvis, Xavi Galindo et Alfredo Gomez.

But avoué : régner sur l'Enduro Extrême.

L'année a démarré sous les meilleurs auspices pour le Team puisque Graham Jarvis a remporté la Tough One et ce Hell's Gate (devant Jonny Walker et Cody Webb) qui s'est disputé mi-février en Italie pour la première fois depuis une dizaine d'années ... dans la neige.

Jonny Walker second du Hell's Gate
 
 
 
 
 
 
Entretien avec Graham Jarvis
 
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Pour Graham Jarvis, pilote du team Husaberg Extreme, l'année 2013 a démarré sur les chapeaux de roue.

De sa victoire dans The Tough One à sa participation au King Of The Motos en Californie, en passant par d'innombrables heures d'entraînement acharné, Jarvis n'a pour ainsi dire jamais touché terre.

Avant de partir en Italie Graham a livré ses impressions sur la saison...

 
Graham Jarvis
 
 
Ce week-end, tu pars pour la 10ème édition du Hell's Gate.

Comment te sens-tu avant cette course extrêmement difficile?
 
Graham Jarvis
Je me sens bien.

Je suis en forme et le plus important, c'est que je sais à quoi m'attendre.

C'est le dixième anniversaire, ce sera donc un événement à ne pas manquer.

De plus, si je gagne, j'aurai plus de victoires (trois) que n'importe quel autre pilote.

Ce serait super, mais cette course est toujours difficile et il vaut mieux ne pas tirer de plans sur la comète.
 
Graham Jarvis
 
 
Tu es le pilote qui a le plus d'expérience de cette course.

Qu'as-tu appris au fil des années?
 
Graham Jarvis
Que tout peut arriver et que c'est une course vraiment compliquée.

J'y ai eu des résultats mitigés pendant quelques années, mais ces derniers temps, tout s'est bien goupillé.

Mis à part ma victoire, ce qui m'a le plus marqué, c'est l'année où j'étais en tête mais où mes phares ont lâché à 10 minutes de l'arrivée.

Dougie Lampkin m'a dépassé dans la dernière côte, la Hell’s Peak.

Oh, et au lieu de remporter une nouvelle moto, j'ai eu un sac pour homme!

Depuis, je sais que rien n'est acquis avant d'arriver en haut de cette dernière côte.
 
Graham Jarvis
 
 
Hell's Gate est une course en deux parties.

As-tu prévu une stratégie pour cette année ?
 
Graham Jarvis
J'ai toujours ma routine de préparation d'avant-course, c'est quelque chose d'important.

Mais comme dans toute compétition, le plus important est d'être bien préparé.

Savoir à quel point on va en baver permet de se mettre en bonne condition mentale.

Bien entendu, il faut se qualifier, mais il faut aussi garder de l'énergie pour la course principale.

C'est important de pouvoir partir en première ligne, mais il ne faut surtout pas se mettre dans une situation où l'on est obligé de pousser la moto.

Parce que ça pompe toute ton énergie.

Cette année, la compétition va être rude, je dois donc être aussi solide et intelligent que possible.
 
Graham Jarvis
 
 
Tu as déjà participé à deux courses très différentes cette année : The Tough One et King Of The Motos.

L'une des deux t'a-t-elle préparé pour Hell's Gate?
 
Graham Jarvis
La compétition est toujours une bonne chose, car elle te garde affûté et au diapason de ta moto.

Aucune course ne ressemble vraiment à Hell's Gate, mais je dirais que les conditions en Italie peuvent, à certains moments, être un peu similaires à The Tough One.
 
Jarvis et Gomez
 
 
Gagner The Tough One doit t'avoir donné encore plus de confiance...
 
Graham Jarvis
C'est certain, et ce n'est vraiment pas une course que je pensais gagner.

J'ai eu mal au bras pendant la première heure, mais j'ai ensuite pu trouver mon rythme et j'ai bien apprécié le reste du parcours.

Étant donné qu'il s'agissait de la première grande course de la saison, il y avait un peu de pression supplémentaire, donc gagner était vraiment génial, qui plus est à domicile.

De plus, c'était la première course du Team Husaberg Extreme.

Le résultat n'en était que meilleur.
 
Graham Jarvis
 
Malheureusement, les choses ne se sont pas aussi bien passées au King Of The Motos, mais tu as quand même réussi à décrocher une solide deuxième place.

Que peux-tu nous dire sur la course?
 
Graham Jarvis
The Tough One et le King Of The Motos pourraient difficilement être plus différents.

La première a lieu dans une petite carrière en Angleterre, l'autre dans le désert de Californie.

L'an dernier, je ne savais pas à quoi m'attendre au King Of The Motos et j'avais été un peu impressionné par la vitesse de certaines des sections les plus rapides.

Tu te retrouves parfois sur du plat pendant 10 ou 15 minutes, le long de pistes de sable cabossées et encaissées.

Les sections rocheuses me convenaient mieux.

J'ai été très heureux de remporter la première édition de la course.

Cette année, je pense que j'aurais pu gagner.

J'étais en tête avant d'avoir un problème avec mes pneus mousse.

C'est une grande déception de ne pas avoir gagné, mais la deuxième place est quand même un bon résultat.

Je pense que je me suis mieux comporté sur beaucoup de sections cette année.

Mais un pilote doit apprendre à encaisser la déception et surtout à vivre avec.

Ce n'était pas la première fois et ce ne sera pas la dernière.
 
 
 
Pour finir, il paraît qu'il neige à Hell's Gate.

Est-ce que cela va rendre les choses encore plus difficiles ?
 
Graham Jarvis
C'est vraiment difficile à dire.

Le plus gros problème, c'est le verglas.

Peut-être que s'il y a de la neige, il n'y aura pas de verglas.

L’une des plus grandes difficultés, c'est de piloter dans le noir et d'essayer de ne pas endommager les phares.

Dans le noir, avec la fatigue, c'est facile de faire des erreurs.

L'une des choses les plus importantes au Hell's Gate, c'est de ne pas commettre d'erreurs.

C'est plus important que d'aller vite...
 
Graham Jarvis
 
 
 
 
 
 
le Team Husaberg Extrême
 
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Graham Jarvis, Alfredo Gomez et Xavier Galindo se sont alignés au départ de The Tough One, en Angleterre, sous les couleurs officielles de la nouvelle terreur des pistes, le Team Husaberg Extreme Racing.

Pour la première fois de son histoire, Husaberg, qui a connu en 2012 sa meilleure saison en championnat du monde d'Enduro, engagera un team Factory officiel en enduro extrême, symbole de son implication grandissante dans ce domaine.

 
 

L'escouade Husaberg, qui réunit un panel international de pilotes d'enduro extrême expérimentés, a fait ses grands débuts lors de The Tough One, la première course de l'année dans cette catégorie.

Jarvis, Gomez et Galindo voudront à n'en pas douter se montrer tout au long de la saison sous leur meilleur jour face aux pilotes d'enduro extrême les plus chevronnés au monde.

 
Xavi Galindo
 
 
Graham Jarvis
 
Nul besoin de présenter Graham Jarvis.

Fer de lance d'Husaberg en enduro extrême, le flegmatique Anglais est certainement le numéro un mondial de sa catégorie.

Victorieux dans six des sept principales courses d'enduro extrême, cet ancien pilote de trial est devenu l'homme à abattre.

Possédant cette qualité rare qui consiste à donner l'impression que tout est facile, Graham espère poursuivre sur la voie du succès en 2013.
 
Graham Jarvis
 
 
Alfredo Gomez
 
Alfredo Gomez, bien que moins expérimenté en enduro extrême, espère décrocher la lune en 2013.

Passé, à l'instar de Jarvis, du trial à l'enduro extrême, notre enthousiaste Espagnol est prêt à mordre à pleines dents dans le calendrier de la saison.

En 2012, il s'est focalisé pleinement sur l'enduro, pour la première fois de sa carrière, remportant ainsi le championnat espagnol d'Enduro Junior et décrochant la deuxième place au Wild Rock Extreme,

en Australie. Il a également participé aux Six Jours Internationaux d'Enduro (ISDE), en Allemagne, tout en faisant étalage de ses nombreux talents lors du championnat du monde de SuperEnduro.
 
Alfredo Gomez
 
 
Xavi Galindo
 

Son compatriote Xavi Galindo, quant à lui, est rodé depuis plusieurs saisons aux joutes de l'enduro extrême, dont il porte les cicatrices.

Venu du motocross, âgé de 31 ans, il connaît par cœur le domaine de l'enduro extrême, grâce à maintes saisons de compétition internationale.

Mais il n'est pas rassasié pour autant.

 
Xavi Galindo
 
 
Oliver Göhring, directeur général Husaberg
 

Le fait de sponsoriser officiellement Graham Jarvis, Alfredo Gomez et Xavi Galindo en 2013 représente un nouveau chapitre passionnant de l'histoire d'Husaberg.

Nous avons connu un certain nombre de succès en enduro extrême ces dernières années, et grâce au talent de Graham Jarvis, Husaberg a remporté d'innombrables victoires dans le monde entier.

 
 
 
Oliver Göhring, directeur général Husaberg
 
Pour la toute première fois, Husaberg proposera un team officiel en enduro extrême, ce qui, à n'en pas douter, nous permettra de continuer sur la voie du succès.

La capacité d'assister directement nos pilotes nous permettra d'être bien plus impliqués, ce qui garantira une meilleure préparation pour nos pilotes face aux défis qui se dresseront devant eux.
 
 
 
Oliver Göhring, directeur général Husaberg
 
En outre, nous sommes en mesure d'associer Graham, pilote expérimenté et mine d'informations s'il en est, à un jeune loup comme Alfredo.

La grande popularité de l'enduro extrême signifie qu'avec le championnat du monde d'Enduro, Husaberg est désormais directement engagé au plus haut niveau dans toutes les catégories d'enduro.
 
 
 
 
 
 

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le Hell's Gate
 
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Pour la première fois en 10 ans de course, les montagnes italiennes étaient recouvertes d'une épaisse couche de neige, qui a rendu les choses encore plus compliquées pour les pilotes.

Même avec un parcours simplifié en raison des conditions difficiles, Husaberg fut le seul constructeur à voir deux de ses pilotes arriver au sommet de Hell's Peak, la terrible côte finale, lors de la course principale en quatre tours.
 
Graham Jarvis
 
Deuxième lors des qualifications, à 15 secondes de Jonny Walker, Jarvis s'assura ainsi une place en première ligne pour la course principale.

Préservant ses forces au maximum, Jarvis, chaussé en GoldenTyre, parvint à réaliser le meilleur temps lors du troisième et dernier essai spécial.

La course du matin, sous une neige épaisse, fut tout sauf simple.

Alors qu'il espérait simplement rester derrière Walker dans le premier tour de la course principale, Jarvis se retrouva en tête un peu plus tôt que prévu.
 
Jonny Walker
 
Forcé d'ouvrir la voie dans la neige sur une bonne partie du parcours, Jarvis réussit tout de même à attaquer dans les nombreux lits de rivières et, ce faisant, se détacha rapidement de ses rivaux.
 
Graham Jarvis
 
 
Graham Jarvis
J'étais content de suivre Jonny en début de course.

J'étais tranquillement derrière lui et je n'avais pas encore l'intention de le dépasser, mais il a commis une erreur et je suis passé en tête.

C'était difficile, parce que j'ai dû tracer les trajectoires dans la neige.

La piste adhérait étonnamment bien dans les lits de rivières, je pense que c'est là que j'ai réussi à gagner du temps.

Dans la neige, il fallait surtout essayer de rester en ligne droite, ce n'était pas vraiment possible d'attaquer.
 
Graham Jarvis
 
 

La Hell's Gate 2013 s'annonçait tellement dure que les organisateurs décidèrent de réduire le nombre de tours de cinq à quatre, au grand soulagement des concurrents.

 
 
Menant un train d'enfer, Jarvis prit une avance considérable au début du deuxième tour, s'arrêtant quelques instants pour faire le plein avant de repartir pleins gaz.
 
 
Malgré une petite chute, Jarvis, qui avait déjà remporté The Tough One plus tôt dans l'année, conserva son rythme infernal pour assurer la victoire dans le dernier tour.

La nuit tombait lorsque Graham arriva en bas de la dernière côte.

Il lui fallut deux tentatives pour se rapprocher de la moitié de l'ascension.

Poussé, tiré, traîné par un groupe de spectateurs placés près de la ligne d'arrivée, Jarvis parvint finalement à atteindre le drapeau à damiers avec 12 minutes d'avance sur Walker.
 
Alfredo Gomez
 
 
Graham Jarvis

C'est une sensation incroyable d'avoir remporté le Hell's Gate pour la troisième fois.

Je ne m'y attendais vraiment pas.

Vu les conditions, je ne savais pas comment se passerait la course ni comment les autres pilotes s'en sortiraient.

 
Graham Jarvis
 
 
Graham Jarvis
Mais une fois en tête, tout s'est bien goupillé.

La course du matin était plutôt difficile.

A cause de la neige, certaines des sections les plus faciles des années précédentes étaient très dures et j'ai dû puiser dans me réserves bien plus que je le souhaitais.
 
Jonny Walker
 
 
Graham Jarvis
Jonny Walker allait très vite, comme prévu, mais finir deuxième sans être décroché, c'était un bon résultat.

Je me suis élancé deux fois en bas de la dernière côte mais je n'ai même pas réussi à grimper jusqu'à la moitié.

Je hurlais aux spectateurs de m'aider à tirer la moto, parce que j'ai déjà perdu la course sur cette dernière montée.
 
Jonny Walker
 
 
Graham Jarvis
J'avais l'impression d'être sur cette côte depuis une éternité, mais une fois ma moto encordée, j'ai su que c'était bon.

C'est génial d'avoir gagné trois fois, même si j'espère pouvoir faire encore mieux.

J'ai vraiment adoré la course. Je reviendrai l'an prochain.
 
Graham Jarvis
 
L'un des cinq seuls pilotes avec Graham à avoir franchi la ligne d'arrivée en ayant complété les quatre tours fut Alfredo Gomez.

Non qualifié pour la course principale en 2012, Alfredo a cette fois livré une performance impressionnante.

Malgré son manque d'expérience par rapport aux quatre autres pilotes, le jeune Espagnol s'adapta rapidement aux conditions mais arriva à une décevante 13ème place lors de la course de qualification matinale.
 
Alfredo Gomez
 
Après avoir chuté lourdement, Gomez termina cette course légèrement désabusé, conscient qu'il devrait présenter un autre visage lors de la course principale.

Luttant pour dépasser d'autres pilotes, Alfredo tenta de capitaliser sur son bon départ, attaquant le plus possible et remontant progressivement au classement.
 
Alfredo Gomez
 
Malgré une nouvelle chute qui tordit son disque de frein avant, Gomez continua de foncer tête baissée.

Après avoir dépassé Ben Hemingway dans les derniers tours, Alfredo se mit en tête de rattraper Cody Webb.

Mais même après avoir repris plus de trois minutes sur le pilote américain dans le dernier tour, Alfredo n'eut malheureusement pas le temps d'espérer le podium et arriva en haut de Hell's Peak à quatre minutes de son rival.
 
Cody Webb
 
 
Alfredo Gomez
Je ne me suis pas bien débrouillé pendant la course du matin mais je suis content d'avoir pu finir quatrième de la course principale.

J'ai lourdement chuté dans le deuxième essai et je n'ai pas eu de bonnes sensations après ça.

J'ai fini 13ème, ce qui signifie que je n'étais pas en bonne position sur la ligne de départ.
 
Alfredo Gomez
 
 
Alfredo Gomez
C'était vraiment dur de dépasser les pilotes devant moi pendant la course principale.

Il y avait une ligne qui faisait le tour de la piste, avec de la neige des deux côtés.
 
Alfredo Gomez
 
 
Alfredo Gomez
Je suis tombé bêtement en dépassant Andreas Lettenbichler et j'ai tordu mon frein avant.

Après ça, il marchait à certains moments mais pas à d'autres.
 
Andreas Lettenbichler
 
 
Alfredo Gomez
Mais j'ai continué d'attaquer aussi fort que possible.

Quand j'ai dépassé Ben Hemingway, j'étais à 11 minutes et demi de Cody Webb, mais au final j'avais rattrapé plus de trois minutes.

J'étais vraiment content d'avoir fait ça.

Je suis heureux de mon résultat, sauf pour la course du matin.

L'an dernier, je ne m'étais même pas qualifié pour la course principale, donc cette année je suis vraiment content, même si c'était la première fois que je pilotais dans la neige.
 
Alfredo Gomez
 
Le troisième membre du Team Husaberg Extreme, Xavi Galindo, n'a quant à lui pas connu le même succès, ne bouclant que deux tours.

13ème au classement général lors des qualifications du matin, après avoir fini 22ème , 16ème et 13ème dans les trois essais spéciaux chronométrés, Xavi ne ménagea pas ses forces dans le premier tour de la course principale, mais finit simplement par s'épuiser.
 
Xavi Galindo
 
 
Xavi Galindo
J'étais naze à la fin du premier tour de la course finale.

Je savais que cette course serait compliquée pour moi, mais le résultat d'équipe est très bon.

Avec Graham vainqueur et Alfredo proche du podium, ce fut une belle course.
 
Xavi Galindo
 
 
 
 
 
 
 
 
 
photos : J. Edmunds - Red Bull
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