le Grand Prix du Portugal |
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Meo, Salvini et Nambotin OK! |
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Cette tournée ibérique vient de se conclure avec le Grand Prix du Portugal qui a vu la confirmation du début de saison tonitruant d'Alex Salvini en catégorie E2.
Grâce à ce doublé aux dépends de Cervantes qui l'avait battu deux fois en Espagne, Alex Salvini se positionne définitivement comme le principal prétendant au titre final.
Cette fois-ci Salvini a creusé un net écart avec Cervantes son plus proche rival puisque 15 points séparent les deux hommes alors que Pierre Alexandre Renet (le champion sortant) compte 28 points de retard sur l'italien.
Autrement dit sauf grosse contre performance la victoire finale se jouera entre la Honda de Salvini et la KTM de Cervantes.
7ème du classement général du Championnat du Monde d'Enduro 2012 Alex Salvini est en train de sortir une saison exceptionnelle.
Reste le dernier écueil de la tournée dans les balkans : Roumanie et Grèce avant l'apothéose finale française à St Flour les 7 et 8 septembre. |
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Alex Salvini n'en finit plus de surprendre |
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Si Pierre Alexandre Renet est en ballotage défavorable pour conserver son titre il n'en va pas de même pour les deux autres tenants tricolores Antoine Meo et Christophe Nambotin dans les catégories E1 et E3.
Malgré des débuts difficiles en Amérique du Sud les deux ténors KTM ont su redresser la barre et s'imposer comme les plus sérieux prétendants à leurs successions.
En E1, même s'il a bataillé, Antoine Meo a signé le doublé au Portugal en devançant à chaque fois des concurrents différents : la bonne affaire. Ce ne sont pas moins de 4 pilotes qui sont montés sur les deux marches des podiums laissées libres par Meo : Salminen et Remes le samedi, Boissière et Seistola le dimanche.
Autant dire que cela fait grandement les affaires du dignois au général puisque Meo compte 34 points d'avance sur Seistola et 35 sur Salminen.
En E3 Christophe Nambotin n'a pas fait non plus de détail et seul le local de l'étape le portuguais Luis Correia, galvanisé par l'enjeu, a réussi à monter par deux fois sur la 3ème marche du podium alors que Leok et Bellino se sont successivement intercalés sur la 2ème.
Avec 34 points d'avance sur Ljunggren et 35 sur Leok, Christophe Nambotin peut tranquillement voir venir les 3 derniers Grands Prix. |
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un doublé plus difficile que prévu pour Antoine Meo |
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samedi |
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Après une longue semaine pluvieuse de repérages, les stars de l’EWC prenaient le départ de la première journée de course sous un temps plutôt clément malgré le vent. |
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De quoi faire sortir les habitants de Torres Vedras et des alentours qui se sont précipités sur les spéciales de ce Grand Prix Cross Pro du Portugal… |
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Côté course, les pilotes du Championnat du Monde FIM Maxxis d’Enduro mettaient très peu de temps à se mettre en jambes et à donner des frissons aux spectateurs |
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E1 - 1er jour |
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Juha SALMINEN (SF – HVA), en Enduro 1, fort d’un excellent chrono la veille lors du Super Test cherchait à asphyxier d'entrée un Antoine MEO (F – KTM) qui, une fois n’est pas coutume, eut du mal à se mettre dans le rythme dans le premier tour. |
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Juha SALMINEN (SF – HVA) |
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L’octuple Champion du Monde allait même jusqu’à compter près de 18 secondes d’avance sur son grand rival à la mi-course, laissant l’officiel KTM lutter avec Eero REMES (SF – TM) et Matti SEISTOLA (SF – HVA). |
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Matti SEISTOLA (SF – HVA) |
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Mais l’enfant de Digne les Bains monta progressivement en régime et entreprit une remontée fantastique sur SALMINEN au point de ne compter que 3 secondes de retard à la fin du troisième tour. |
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Antoine MEO (F – KTM) |
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Sous la menace d’une pénalité d’une seconde, le Dignois ne relâchait pas la poignée de gaz jusqu’à la fin de la dernière boucle |
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Antoine MEO (F – KTM) |
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Antoine Meo |
J’ai fait beaucoup d’erreurs et une nouvelle fois j’ai manqué mon début de journée…
Du coup, Juha a fait le travail et s’est retrouvé avec 17 secondes d’avance. |
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Antoine MEO (F – KTM) |
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Antoine Meo |
Dans le 3ème tour, j’ai commencé à vraiment attaquer et j’ai eu la chance qu’il fasse quelques erreurs ! |
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Antoine MEO (F – KTM) |
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Derrière ce duel de feu, REMES a parfaitement résisté à SEISTOLA et accroche les 15 points de la 3ème place. |
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Eero Remes |
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Après un Grand Prix d’Espagne décevant, Jérémy TARROUX (F – Sherco) rectifie le tir en signant une encourageante 5ème position tandis qu’Anthony BOISSIERE (F – Sherco) continue sa progression (6ème). |
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Anthony BOISSIERE (F – Sherco) |
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A noter la journée décevante de Cristobal GUERRERO (E – KTM), 9ème, Nicolas DEPARROIS (F – Yam), 10ème, et Simone ALBERGONI (I – HM Honda), 11ème. |
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Cristobal GUERRERO (E – KTM) |
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pause de charme |
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Féminines - jour 1 |
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Enfin, chez les Féminines, Laïa SANZ (E – KTM) absente pour la journée pour cause d’X-Games à Barcelone, a laissé le champ libre aux autres pilotes de la catégorie.
Et c’est peu dire que ce fut une véritable foire d’empoigne…
En effet, tour à tour, Jane DANIELS (GB – Husaberg), Juliette BERREZ (F – Yam), Audrey ROSSAT (F – KTM) et Géraldine FOURNEL (F – Husaberg) prenaient l’avantage tandis que l’Australienne Jessica GARDINER (Sherco) se battait pour reprendre la minute de retard du KTM Super Test. |
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Audrey ROSSAT (F – KTM) |
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Mais la pilote Sherco perdait rapidement tout espoir de remontée impossible en perdant 3 minutes dans la toute pr emière spéciale de la journée.
Au terme des trois tours, c’est l’expérimentée ROSSAT qui s’impose devant la Britannique DANIELS et Géraldine FOURNEL… mais après décision du jury, l’Enduro Test du premier tour ne fut pas comptabilisé et s’est finalement l’Australienne GARDINER qui s’impose et prend la tête du classement provisoire.
Géraldine FOURNEL, 2ème, et Jane DANIELS, 3ème ont-elles aussi remporté de précieux points. |
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Jessica GARDINER (Sherco) |
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Jérémy Joly |
Espagne 8 et 8 - Portugal 7 et 10 |
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le point sur la tournée ibérique |
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De retour de la tournée Espagne-Portugal, Jérémy Joly fait le bilan de ces deux derniers GP du Mondial d'enduro, dans une catégorie E1 à la fois très relevée et très ouverte.
Si les résultats bruts par journée ne sont pas toujours à la hauteur de ses ambitions, sa place dans le Top 6 du provisoire démontre que la régularité est payante.
A mi-championnat, il fait le point. |
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Jérémy Joly |
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Comment se sont passés ces deux GP ? Quelles étaient les conditions de course ? |
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Jérémy Joly |
Ces deux Grands Prix étaient assez typés motocross en ce qui concerne les spéciales et aussi très éprouvants physiquement.
Sur le papier, les liaisons peuvent paraître courtes, mais elles étaient très cassantes et techniques.
Les hommes et les motos ont souffert !
Au Portugal notamment, la liaison était particulièrement corsée.
Deux GP bien distincts de par la nature du terrain, mais aussi difficiles l'un que l'autre. |
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Comment analyses-tu tes résultats ? 8-8 en Espagne et 7-10 au Portugal... |
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Jérémy Joly |
Je me suis vraiment bien battu pour une place dans le top 5 le premier jour du GP d'Espagne, mais j'ai perdu de précieuses secondes dans le dernier tour et je finis 8e.
Le 2e jour a été plus dur physiquement, mais je suis resté au contact de mes adversaires et j'ai gardé cette même place.
Quand je regarde quels sont les pilotes qui sont derrière moi, je n'ai pas à rougir, loin de là.
Je suis plutôt satisfait de battre des pilotes qui ont déjà signé des podiums en Mondial.
Idem lors du GP du Portugal, j'ai bien roulé le samedi, avec une nouvelle fois une belle bagarre pour le Top 5, dont je suis très proche.
En revanche, le dimanche, le terrain était plus sec, et je n'ai pas réussi à augmenter le rythme.
Malgré tout je suis très heureux d'avoir gagné un rang au provisoire et d'être revenu en 6e position. |
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Fais-tu un premier bilan de ce championnat et quels sont tes objectifs pour la suite de la saison ? |
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Jérémy Joly |
Je vais donner le maximum pour conserver cette 6e position voire l'améliorer, ce qui ne sera pas facile quand on regarde le niveau de la catégorie !
Depuis le début de saison, ma régularité s'avère payante et je suis fier de cette place au championnat.
Les pilotes qui sont devant sont excellents, et ceux qui sont derrière aussi...
Mais je n'oublie pas que mon objectif est de progresser et d'augmenter ma vitesse pour aller jouer dans le peloton de tête à moyen terme !
Pour y parvenir, il va falloir que je travaille encore et encore pour améliorer certains points précis de mon pilotage.
Il faut aussi intégrer l'évolution permanente de la discipline dans mon programme d'entraînement pour être mieux préparé. |
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La journée de dimanche |
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Le dimanche la météo fut plutôt clémente lors de cette deuxième journée du Grand Prix Cross Pro du Portugal malgré le vent une nouvelle fois récurent. |
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Mais cela n’a pas empêché les spectateurs Portugais de venir encore plus nombreux que la veille et d’applaudir les exploits des stars de l’EWC… |
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Junior et 125 - 2ème jour |
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Chez les jeunes pousses, ce fut une nouvelle fois une ultra-domination de la perle Australienne Matthew PHILLIPS (HVA).
Avec son physique de talonneur, le protégé de Fabrizio AZZALIN accentue encore un peu plus son avance au championnat grâce à une attaque impressionnante ! |
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Derrière la bataille fit rage pour s’arracher de précieux points et surtout ne pas perdre le contact au provisoire sur le pilote Husqvarna.
Et à ce petit jeu, ce fut encore Giacomo REDONDI (I – KTM) qui fût le plus consistant. |
Il termine devant Loïc LARRIEU (F – Husaberg) qui signe ainsi son tout premier podium sur l’EWC et coiffe sur le fil l’enfant de Sintra Luis OLIVEIRA (P – Yam). |
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Loïc LARRIEU (F – Husaberg) |
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En FIM Youth Cup 125cc, Jamie MCCANNEY (GB – Husaberg) a encore fois dominé la catégorie devant Albin ELOWSON (S – Husaberg) et Dawid CIUCCI (I – KTM) qui semble être l’homme des deuxième journée. |
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Mario Roman |
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pause de charme |
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Féminines : 2ème jour |
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Revenue victorieuse des X-Games de Barcelone dans la nuit, Laïa SANZ (E – KTM) était bien présente au départ de la catégorie Women ce matin.
Elle ne laissa aucun espoir à ses concurrentes malgré la fatigue… |
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Déchue de sa victoire de Samedi après décision du jury tôt ce matin, Jessica GARDINER (AUS – Sherco) lutta brillamment pour la 2ème place qu’elle défendit avec acharnement. |
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Laïa SANZ (E – KTM) |
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Restait alors à déterminer celle qui accompagnerait l’Espagnole et l’Australienne sur le podium.
Et pour cela, les candidates furent nombreuses, d’Audrey ROSSAT (F – KTM) à Jemma WILSON (AUS – Honda) en passant par Géraldine FOURNEL, Jane DANIELS (GB – Husaberg) et Juliette BERREZ (F – Yam), aucune ne voulait céder laisser un centième de seconde à ses rivales.
Mais très tôt BERREZ (7ème) craquait suite à une chute tout comme la pilote Honda WILSON (6ème) qui n’arrivait pas à trouver le bon rythme… |
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Juliette Berrez |
Espagne 3 et 4 - Portugal 3 et 7 |
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le point sur la tournée ibérique |
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Après un excellent début de saison Juliette BERREZ avait rendez-vous sur la scène mondiale à l'occasion du Grand Prix d'Espagne et du Grand Prix du Portugal qui se succédaient.
Deux tracés très différents.
La chaleur et la poussière en Espagne contre de la pluie et des spéciales rapides et typées motocross au Portugal.
Rapidement dans le coup lors du Grand Prix d'Espagne, l'officielle Yamaha n'a rien lâché en première journée, faisant partie des rares à ne pas pointer en retard. |
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Juliette Berrez |
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Réalisant d'excellents temps en spéciale, Juliette termine sa première manche de mondial 2013 sur la troisième marche du podium.
Le lendemain, usée par ses efforts de la veille, elle parviendra tout de même à décrocher une superbe quatrième place.
Une semaine plus tard, Juliette monte de nouveau sur la troisième marche du podium en première manche, mais, moins à l'aise sur le tracé elle n'obtient qu'une septième place le lendemain.
Au classement provisoire Juliette est 5e à égalité de points avec sa compatriote Audrey Rossat.
Seulement 8 points les séparent du podium.
Tout reste possible !
ll reste deux épreuves inscrites au calendrier, la Grèce et la France pour faire la différence et aller s'installer sur le podium.
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Quel est ton ressenti à l'issue de ces deux premiers Grands Prix ? |
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Juliette Berrez |
Beaucoup de fatigue.
Chez les filles le niveau est très homogène et je m'étais préparée mentalement à vivre des compétitions éprouvantes physiquement et nerveusement.
J'ai bien pris mes marques sur ces deux premiers rendez-vous, mais le résultat ne me satisfait qu'à moitié.
En Espagne je savais que la course se jouerait beacoup en liaison.
Il fallait un très gros rythme pour pointer à l'heure.
Nous ne sommes que trois à ne pas prendre de pénalités, je termine troisième.
Le lendemain j'accusais un peu les efforts de la veille mais j'ai réussi à obtenir la quatrième place.
Au Portugal je n'ai pas trop su m'adapter au terrain, j'aurais aimé mieux faire.
Ma place de 5e au provisoire est motivante, d'autant plus que très peu de points séparent les filles du Top 5. |
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Comment est-ce que tu te situes parmi les filles engagées? |
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Juliette Berrez |
Nous avons toutes un profil assez différent.
Certaines sont capables de rouler fort une spéciale et de se bloquer dans la suivante, d'autres ont moins de vitesse mais voient leur régularité récompensée.
Je pense avoir assez de vitesse pour rester dans le top 5 et je ferai en sorte de bien gérer le physique lors des prochains rendez-vous.
Je vais tout faire pour garder des forces le dimanche !
Une chose est certaine, il y a un gros rythme, l'enduro féminin se porte bien. |
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photos - J. Edmunds - ABC Communication |
textes - ABC Communication - adrien |
mise en page adrien |
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